Comme une 76
(Bruits de blogs seinomarins...)

lundi 7 septembre 2009

A 13 ans, il se suicide !

Un adolescent de 13 ans s'est suicidé dimanche soir en se jetant du 6e étage de son immeuble situé au Grand-Quevilly près de Rouen (Seine-Maritime), a-t-on appris lundi de source policière.

Depuis quelques jours, il avait confié son intention d'en finir à un de ses amis sur la messagerie MSN.

Le jeune collégien s'est, selon le Parquet de Rouen qui a ouvert une enquête, levé vers 23h30 pour boire un verre d'eau et s'est ensuite défenestré de la porte fenêtre de la salle de séjour de l'appartement familial situé au 6e étage.

C'est sa sœur âgée de 11 ans qui voyant la porte fenêtre ouverte et après avoir entendu un grand cri a alerté la police. Depuis plusieurs jours et en constante relation avec un de ses copains sur MSN, l'adolescent tenait, selon le parquet, "des propos morbides".

L'identification de l'autre adolescent était en cours lundi matin. Les parents n'avaient, compte tenu de leur état de choc, pu être auditionnés. Une autopsie a été ordonnée par le parquet de Rouen. AP

vendredi 10 juillet 2009

Mon curé photographe !

Samedi 4 juillet, un violent incendie s'est déclaré à Yvetot aux alentours de minuit, dans l'usine Gardet & de Bezenac.
Il parait que le feu était visible à plus de 20 kilomètres.

Le « Courrier Cauchois » de cette semaine (vendredi 10 juillet), s'est procuré une photo de l'évènement qui a été prise par le curé d'Yvetot, dans le clocher de l'église : « Ayant d’abord cru que c’était l’église Saint-Pierre qui brûlait, le père Henri Delavenne est monté ensuite sur le clocher pour prendre cette photo édifiante qu’il nous a aimablement fournie. ».

C'est un peu la série « Mon curé photographe ! » :

Photo Henri Delavenne

Voir également :
Paris-Normandie
Blog des pompiers de Saint-Saëns
Pompier de Yerville
Philippe Decultot
Maquette militaire

jeudi 28 mai 2009

Rouen: le cannibale présumé sera jugé

Rouen : le cannibale présumé sera jugé pour « meurtre » et « actes de barbarie »

Le détenu de la prison de Rouen, qui en janvier 2007 avait tué son compagnon de cellule et lui avait mangé un bout de poumon, est renvoyé à l'automne prochain devant la Cour d'assises de Seine maritime qui le jugera pour « meurtre » et « actes de barbarie », a-t-on appris mercredi de source judiciaire.

Selon les conclusions de l'enquête menée par le juge Laëtitia Franquart, l'examen psychiatrique de Nicolas Cocaign, 37 ans, qui dans une première expertise avait été jugé « irresponsable », a révélé lors de deux contre-expertises « une simple altération de son discernement », ce dernier « réalisant un fantasme qu'il avait en tête depuis longtemps ».

Ce détenu en détention préventive pour tentative de viol aurait dans la nuit du 2 au 3 janvier 2007 fait cuire dans une poêle puis mangé un morceau de poumon de son co-détenu, Thierry Baudry, 31 ans, après l'avoir battu, lardé de plusieurs coups de ciseaux et asphyxié avec un sac poubelle.

Nicolas Cocaign est passible de la réclusion criminelle à perpétuité. AP

Voir aussi Retour vidéo sur le cannibale de la prison de Rouen

jeudi 21 mai 2009

Ach ! Sabotage ! Les trois « suspects » remis en liberté !

Les trois personnes interpellées lundi à Rouen, dans le cadre de l'enquête sur les dégradations commises contre la SNCF, ont été remises en liberté. Elles étaient présentées comme des proches de Julien Coupat, principal mis en cause dans ce dossier et toujours incarcéré.

Aucune charge n'a été retenue contre eux. Les deux hommes et la femme ont été remis en liberté aujourd'hui.

Les enquêteurs cherchaient à établir la teneur de leur relation avec Julien Coupat, principal suspect dans cette affaire et toujours incarcéré, et certains de ses proches. Ils étaient soupçonnés de s'être rencontrés lors d'une manifestation à Salonique, en Grèce, en septembre 2008 où ils auraient été au contact d'Allemands membres de la mouvance autonome. (AP)

mercredi 20 mai 2009

Camille et Constance (Épisode 2)

C'est reparti !...
Les rapaces sont dans les starting-blocks, un fait nouveau vient d'apparaître, c'est écrit dans Paris-Normandie, Constance (coupable présumée) aurait eut un complice, Charles.
On ne sait rien, mais on dit tout ! C'est écrit sur le PN :

Selon nos informations, rien n'indique que le coaccusé, un lycéen inconnu jusqu'alors de la justice, a pris une part active dans l'homicide. Au stade actuel des investigations, les enquêteurs de la Sûreté départementale le soupçonnent d'avoir aidé Constance à déplacer le corps de la cuisine vers la chambre, située au premier étage de la maison. A priori, il ne connaissait que très peu la victime.

Les parents de Camille n'avaient vraiment pas besoin de ça...

lundi 18 mai 2009

Ach ! Sabotage ! Des terroristes seinomarins !

Des personnes avaient déjà été interpellées à Rouen dans le cadre de l'« affaire Coupat ». Ça recommence puisque trois personnes ont été interpellées ce matin dans la capitale normande et dans ses environs dans le cadre de l'enquête sur les dégradations commises contre la SNCF qui a vu l'incarcération de Julien Coupat.

Des perquisitions sont actuellement menées aux domiciles de ces deux hommes et de cette femme âgés de 25 et 26 ans. Ces proches présumés de Julien Coupat sont interrogés par les policiers de la Sous-direction antiterroriste (SDAT) en charge de l'enquête. (D'après AP)

Voici une vidéo de Paris-Normandie de Mathieu, un de ceux qui avaient été arrêtés au début de l'affaire :

ADDENDA : Contactée par nouvelobs.com, Me Dominique Valles, l'un des avocats chargés du dossier du "groupe de Tarnac", a indiqué qu'il s'agissait de trois personnes qui vivaient à Rouen avec deux autres jeunes gens, Bertrand et Elsa. Bertrand et Elsa avaient été interpellés en novembre en même temps que les sept autres mis en examen dans cette affaire. Selon l'avocate, les trois personnes interpellées lundi ne seraient pas en garde à vue à Rouen, contrairement à ce qui a été d'abord indiqué. Elle ne savait pas, lundi matin, où elles se trouvaient. Elles ont été placées en garde à vue pour une durée pouvant aller jusqu'à 96h, par des policiers de la sous-direction antiterroriste (Sdat). Aucun avocat n'aura le droit d'avoir accès au dossier et aux personnes interpellées avant 72h, a précisé l'avocate à nouvelobs.com.

En avril une femme arrêtée puis relâchée

Fin avril, une femme de 36 ans, connaissant le "groupe de Tarnac", avait été interpellée à Paris. Après 72 heures de garde à vue, elle avait été remise en liberté, sans qu'aucune charge n'ait été retenue contre elle. En novembre 2008, neuf jeunes gens, âgés de 22 à 34 ans, ont été mis en examen. Ils sont poursuivis pour "destructions et association de malfaiteurs", le tout "en relation avec une entreprise terroriste". Les enquêteurs les soupçonnent d'avoir fondé un groupe d'ultragauche qui aurait été à l'origine des sabotages.

mardi 13 janvier 2009

Camille et Constance

Tout passe par le net aujourd'hui !

Deux amies ados de 18 ans, l'une pique le petit copain de l'autre. Classique. Cela arrive tous les jours.

Mais, vous l'avez lu un peu partout, Constance a tué Camille à coups de couteau et de marteau. Lire les bonnes feuilles :
Le parisien
Paris-Normandie
France 3

2amies.jpg

Mais comme toutes les jeunes filles d'aujourd'hui, elles avaient chacune un blog, un skyblog plus exactement.
Ca sent l'amitié très proche, Camille écrit à Constance :
« Elle aura était M0n Rayon de Soleil de cette année,
Elle aura était M0n Instant de Bonheur Quotidien,
Elle aura était M0n Distributeur de F0us rires : ,
Elle aura était LA Cause de mes sourires les Plus Sincéres,
Elle aura était Ma Motivation d'Aller au Lycée,

Et Elle sera à Jamais M0n Etrangère Brésilienne Favorite.
Je l'Aime Ma Constance. »

Ce à quoi Constance répond le 7 janvier :
« Je t'aime très fort, et je veux en aucun cas que l'on s'éloigne l'une de l'autre. Hâte de te retrouver et de passer pleins de bons moments encore ensemble »

Camille avait même son facebook. Comme tout passe par le net, il y a même un facebook qui rend hommage à Camille http://fr-fr.facebook.com/group.php...

vendredi 19 décembre 2008

Le parquet ne veut pas de révision du procès Deperrois

Le parquet général de la Cour de cassation s'est déclaré jeudi défavorable à la demande de révision de la condamnation de Jean-Marc Deperrois, condamné dans les années 1990 dans l'affaire de la Josacine empoisonnée et qui a toujours clamé son innocence, a-t-on appris vendredi de sources concordantes.

"Non seulement il n'y a pas d'élément nouveau (susceptible de justifier une révision, ndlr), mais les éléments anciens et connus sont largement confortés par les dernières expertises", a déclaré à l'AFP Me Laurent de Caunes, avocat de la partie civile.

La commission de révision des condamnations pénales rendra sa décision le 9 février, a-t-il précisé, ce que le parquet général a confirmé.

Lire la suite...

mercredi 3 décembre 2008

Décès d'un SDF à Montivilliers

Le corps sans vie d'un sans domicile fixe âgé de 68 ans a été retrouvé mardi matin près d'un étang de Montivilliers, a-t-on appris de source policière.

Une autopsie a été ordonnée pour connaître les causes exactes du décès.

L'homme vivait dans une tente de camping depuis plusieurs mois. C'est un promeneur qui a découvert le corps.

Selon les premières constatations, ce sexagénaire qui avait des problèmes de santé et qui s'était vu proposer la veille un hébergement par le Samu social n'aurait pas survécu aux températures très faibles enregistrées dans la nuit de lundi à mardi, où le thermomètre a affiché 3 à 4 degrés Celsius. AP

samedi 22 novembre 2008

20 ans de réclusion pour la pavillaise qui avait pendu ses jumeaux

La femme de Pavilly qui avait pendu ses deux enfants a été condamnée à 20 ans de réclusion

La Cour d'assises de la Seine-Maritime a condamné hier soir à 20 ans de réclusion criminelle une femme de 39 ans qui avait tué, en les pendant, ses deux enfants jumeaux âgés de quatre ans, le 1er mars 2006 à Pavilly. (Voir également ce billet)

La drame s'était produit alors que cette femme élevée par une famille d'accueil était en instance de divorce et qu'elle ne supportait pas cette perspective. Elle a pendu ses deux enfants dans le cabanon du jardin de la maison familiale avant de tenter de mettre fin à ses jours.

A la barre, l'accusée a reconnu les faits en expliquant qu'elle avait eu peur de perdre la garde des enfants au profit de son mari. « Il m'avait dit que j'aurais la garde des petits. Mais lorsque je suis allée voir l'avocate, il n'en était rien. Il les voulait pour lui tout seul », a-t-elle dit.

Les jurés sont restés en deçà des réquisitions de l'avocate générale, qui avait requis une peine de trente ans de réclusion, alors que l'accusée encourait la perpétuité.

Ils ont vraisemblablement tenu compte de l'avis des experts qui ont assuré que le discernement de l'accusée était altéré au moment des faits, ce qui signifiait qu'elle était accessible à une sanction pénale, mais que sa responsabilité était diminuée.

(source AFP).

jeudi 20 novembre 2008

Mathieu sur une vidéo de Paris-Normandie

Depuis quelques temps, Paris-Normandie fait quelques vidéos.
Voici, celle de Mathieu qui fait partie des personnes placées en garde à vue, puis mises en examen suite à de possibles dégradations commises sur le réseau SNCF.

Son interview complète dans l'édition de Paris-Normandie du 21 novembre 2008 :

mercredi 19 novembre 2008

Un pitbull attaque une voiture de police à Petit-Quevilly

Hier matin, une voiture de police avec des fonctionnaires à son bord a été attaquée et sérieusement dégradée lundi en fin de matinée à Petit-Quevilly par un pitbull qui a toutefois pu être neutralisé après plus d'une heure de traque, a-t-on appris mercredi de source policière.

Mercredi matin, le propriétaire du chien était toujours recherché. Alertée qu'un pitbull non muselé divaguait sur la voie publique en plein centre ville, la patrouille de police s'est retrouvée face à l'animal qui a bondi sur le capot du véhicule, qui a ensuite arraché le rétroviseur et déchiqueté la calandre avec ses crocs.

L'animal qui s'était enfui a ensuite été de nouveau localisé sur un terrain vague ou le concours d'un maître chien a permis de le maîtriser. Le pitbull a été placé en "geôle" dans un refuge pour animaux, la voiture de police, bien amochée, a été confiée à un carrossier.

Le propriétaire du pitbull est toujours recherché par les policiers.

Source : AP

mercredi 5 novembre 2008

Incendie à l'hôtel de Police de Rouen

Un incendie accidentel s'est déclaré à l'Hôtel de police de Rouen, rue Brisout de Barneville, vers 11h15, aujourd'hui.
800 personnes ont dû être évacuées.

Le service du 17 (Police secours) est toujours assuré par 3 fonctionnaires restés dans les locaux.

mardi 4 novembre 2008

Le chauffard se serait enfui suite à un regroupement autour de lui

Le chauffard se serait enfui suite à un regroupement autour de lui

Le chauffard a-t-il eu peur de la foule ? C'est ce que semble dire le parquet de Rouen.

D'après le parquet de Rouen, dans des propos rapporté sur Le Post, le chauffard qui a renversé 2 personnes (Voir ce billet) se serait rendu suite aux pressions de sa famille, il a dit avoir perdu le contrôle de son véhicule, le parquet dit :
« Il a expliqué avoir sollicité des personnes, semble-t-il, pour l'aider à dégager les corps des victimes. Quand il a constaté que la femme la plus âgée était morte, il a été pris à parti par des gens qui s'étaient regroupés autour de lui. »

Il dit également ne pas être à l'origine de l'incendie de sa voiture.

lundi 3 novembre 2008

Le chauffard se rend à la police

Rouen: le chauffard soupçonné d'avoir tué une femme et grièvement blessé sa fille se rend à la police

Le chauffard soupçonné d'avoir mortellement fauché une femme âgée de 82 ans et grièvement blessé sa fille dimanche après-midi à Rouen alors que les deux femmes traversaient la chaussée, s'est rendu lundi aux policiers, a-t-on appris auprès de la brigade de répression urbaine chargée de l'enquête.

L'homme âgé de 28 ans, sans profession et habitant du quartier sensible où s'est produit le drame s'est livré lui-même à la police lundi à 12h30 sous la pression de son entourage, a-t-on indiqué de même source. Il a aussitôt été placé en garde à vue et a reconnu avoir perdu le contrôle de son véhicule "tout en minimisant les faits", ont expliqué les enquêteurs.

Ce jeune homme d'origine sénégalaise est déjà connu des services de police pour divers délits et a été condamné pour défaut de permis.

Dimanche peu après 15h dans un des quartiers sensibles situé sur les hauteurs de la ville, sa voiture, une puissante BMW, empruntée à sa compagne, avait percuté les deux femmes, tuant l'octogénaire sur le coup. La voiture qui, depuis le début de l'après-midi, roulait à vive allure dans le quartier avait ensuite fini son embardée dans un trou de chantier.

Le conducteur et les passagers, dont la police ignore toujours le nombre, avaient ensuite arraché les plaques minéralogiques de la voiture et incendié le véhicule avant de prendre la fuite.

La fille de la défunte, âgée d'une quarantaine d'années, était lundi après-midi toujours hospitalisée dans un état grave au CHU de Rouen.

Exprimant son « émotion », la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie avait assuré dimanche que tout était « mis en œuvre pour retrouver les individus irresponsables » à l'origine du drame. AP

Voir billet précédent

dimanche 2 novembre 2008

Une piétonne de 82 ans mortellement fauchée par un chauffard en fuite

Une femme âgée de 82 ans qui marchait sur un trottoir est morte, et sa fille d'une quarantaine d'année grièvement blessée, après avoir été fauchées par une voiture dont le conducteur s'est enfui après y avoir mis le feu.

L'accident est survenu peu après 15h dans un des quartiers sensibles situés sur les hauteurs de Rouen. Une voiture est sortie de la route et a fauché les deux femmes qui marchaient sur le trottoir. La ou les personnes qui étaient à bord ont ensuite incendié le véhicule, avant de réussir à prendre la fuite, selon la même source.

L'enquête a été confiée au service de Sûreté départementale de la police de Rouen.

mercredi 8 octobre 2008

Accident d'autocar à Saint-Nicolas de la Taille

Dix adolescents et deux adultes ont été blessés mardi soir à la suite d'une collision entre un car scolaire et une camionnette, à Saint-Nicolas de la Taille près du Havre.

Il semblerait que sept adolescents n'aient été que légèrement blessés, ils ont pu regagner leur domicile.

Trois autres jeunes et la conductrice du bus ont dû être hospitalisés, mais leurs blessures restent superficielles.

Par contre le chauffeur de la camionnette a été bien plus gravement atteint, le pompiers a dû le désincarcérer. Il a ensuite été hospitalisé.

C'est aux alentours de 17h que l'accident s'est produit, dans une courbe alors que les deux véhicules roulaient sur une route départementale entre les communes de Saint-Nicolas de la Taille et Tancarville.

Les causes de la collision entre la camionnette et le car qui transportait 24 élèves restent indéterminées.

Source : L'AFP

vendredi 3 octobre 2008

Sauvée des flammes par son frère de 9 ans

Une fillette a été sauvée des flammes par son frère de 9 ans !

Le feu s'est déclaré hier matin dans une maison du Bocasse où vivaient une mère et ses deux enfants.
Le garçon de 9 ans sauve sa petite sœur des flammes en la sortant de la maison, il cherche alors à sauver sa mère, mais comme il n'y est pas parvenu, il est allé chercher son grand-père qui dormait dans une maison voisine. Ce dernier parvient à sortir la maman, mais malheureusement celle-ci est brûlée à 80%.

mardi 30 septembre 2008

Un homme de 77 ans disparu en Seine

Un homme de 77 ans qui ramait seul à bord d'un petit bateau a disparu cet après-midi dans la Seine à Rouen après le chavirage de son embarcation provoqué vraisemblablement par les remous des barges qui naviguaient sur le fleuve, a-t-on appris de source proche de l'enquête.

Des passants ont vu vers 15h30 l'embarcation prise dans des remous contraires provoqués par les barges et l'homme projeté à l'eau. Selon ces témoignages, le rameur a tenté de s'agripper à son bateau avant d'être emporté par le flot et de sombrer.

Les recherches n'avaient pas permis mardi soir de retrouver l'homme qui appartenait au Club nautique et athlétique de Rouen (CNAR) et était considéré comme un rameur expérimenté. L'enquête a été confiée à la brigade fluviale de gendarmerie de Rouen.

D'après AFP.

vendredi 19 septembre 2008

Retour vidéo sur le cannibale de la prison de Rouen

Retour vidéo sur le cannibale de la prison de Rouen :


Cannibale de rouen

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