Mais jusqu'alors et sur ce territoire, ce sont les animaux sauvages qui étaient atteints de tuberculose. En août 2005, la préfecture de Seine-Maritime a même pris un arrêté d'abattage des cerfs dont le cheptel est estimé entre 100 et 200 spécimens sur ce secteur et dont 25% seraient malades.

La tuberculose touche encore également les sangliers, les renards et les blaireaux.

"Sur ce secteur compris entre la Seine et l'autoroute A13, 2.500 à 3.000 têtes de bétail sont susceptibles d'être infectées, alors il faut agir le plus vite possible en organisant de nouvelles battues de cerfs et de sangliers à l'origine de ce déséquilibre sanitaire", a expliqué vendredi Daniel Gressent, président du GDMA.

« Il faut s'approcher le plus possible du chiffre zéro; à cette seule condition, le risque de circulation de la bactérie sera réduit sur ce secteur » (source AP)