Après les incidents qui se sont produits dans le quartier de l'Arbalète à Notre-Dame-de-Gravenchon au mois de septembre 2006, où les jeunes gravenchonnais avaient accusé la police, puis une plainte d'un policier municipal qui accuse son supérieur de l'avoir récemment menacé avec son arme de service, Jean-François Carenco, le préfet de Seine-Maritime, a pris un arrêté de suspension d'habilitation de la police municipale de Notre-Dame-de-Gravenchon de détenir des armes jusqu'à nouvel ordre.

Arnaud Libert, directeur de la sûreté urbaine à Yerres (91), qui a été l'un des fondateurs de la police municipale de Notre-Dame-de-Gravenchon, assure pour sa part, qu'il s'agit d'« Une première victoire de la délinquance ».

Mais la préfecture assure qu'il ne s'agit pas de « punition », mais de « prévention ».


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