L'air est connu à Nantes, mais à Rouen, il n'y en a pas qu'un prisonnier, il y en a 706 pour une capacité théorique de 675 places.

Quand en plus, l'avocat de Nicolas Cocaigne, Me Fabien Picchiotino, indique :
« ce drame n'aurait pas dû se produire car depuis plus d'un mois, j'avais demandé à l'administration pénitentiaire le placement de mon client à l'isolement parce qu'il vivait mal sa détention. Mon client souffre de troubles psychiatriques, il aurait dû être interné dans un établissement spécialisé ».

On se dit que les détenus en surnombre dans la prison, sont peut-être des gens qui n'ont rien à y faire. Des gens qui devraient être dans des Hôpitaux Psychiatriques, des gens qui attendent un procès, des gens qui attendent...