Ségolène en visite en Seine-Maritime ?
Par Didier Bidaux le lundi 29 janvier 2007 à 12:53- Politique
Le Figaro évoque la possibilité d'un voyage de la candidate socialiste, Ségolène Royal en Seine-Maritime où elle pourrait retrouver Laurent Fabius, son ancien rival lors de la primaire socialiste.
Et avec son compagnon François Hollande pour un voyage familial, car, après tout, n'est-il pas né à Rouen ?
Samedi, un premier compte-rendu des débats du PS devrait être rendu public. Le 11 février, les grandes lignes du projet Royal seront connues. Mais tout ne sera pas bouclé ce jour-là, prévient-on d'ores et déjà.
Commentaires
A Rouen je crois, d'autre part, en posant la question à Laurent Logiou (PS, 7ème) dans mon interview, il dit qu'il espère la faire venir au Havre...!
enfin ségolène en fabusie nous allons revivre
quel bol d'oxygène cela va être
Ségolène et Fabius réunis, c'est un très bon exemple pour ceux qui doutent de la sincérité du travail militant des fabiusiens... Alors pour une fois nous allons y rencontrer des nouvelles têtes (celles à 20€ par exemple... )
Un article trés intéressant sur Ségolène.
www.segolenades.com/wp-co...
Un autre article très intéressant sur Ségolène.
NOUVELOBS.COM | 31.01.2007 |
Ségolène Royal condamnée à payer 2.500 euros
La Cour de cassation a condamné la socialiste à payer 2.500 euros de frais de justice dans l'affaire qui l'oppose depuis dix ans à deux de ses anciennes assistantes parlementaires pour des salaires non versés.
La Cour de cassation a condamné le 16 janvier dernier Ségolène Royal à payer 2.500 euros de frais de justice dans l'affaire qui l'oppose depuis dix ans à deux de ses anciennes assistantes parlementaires pour des salaires non versés. Celles-ci ont également obtenu la tenue d'un nouveau procès devant la cour d'appel de Rennes, explique le Parisien paru mercredi 31 janvier.
Evelyne Pathouot et Claude Fouchier réclament moins de 7.500 euros, pour le paiement de deux mois de salaire pour les mois de juin et juillet 1997 et pour préjudice subi.
La décision de la Cour de cassation intervient au terme de dix ans d'un parcours judiciaire durant lequel les deux femmes n'avaient pas obtenu gain de cause ni devant les prud'hommes, ni devant la cour d'appel de Poitiers.
"Ségolène Royal avait besoin de nous"
Evelyne Pathouot explique au Parisien qu'elle a été embauchée par Ségolène Royal fin 1995. Pendant deux ans, elle a été payée par l'Assemblée nationale, sur le quota d'assistants parlementaires de la députée. En 1997, l'Assemblée est dissoute et tous les collaborateurs sont licenciés. Les deux femmes, qui travaillaient à la permanence de la socialiste à Melle (Deux-Sèvres), se retrouvent alors en préavis. "Ségolène Royal avait quand même besoin de nous pour sa réélection", explique Evelyne Pathouot au quotidien, "mais à cause des comptes de campagne elle a d'abord voulu nous payer différemment". En avril 1997, les deux assistantes ne sont pas rémunérées pendant trois semaines, ce qui vaudra à Ségolène Royal une condamnation aux prud'hommes. Le litige s'est par la suite compliqué autour des mois de juin et juillet 1997. Les plaignantes soutiennent qu'elles ont continué à travailler localement pour la socialiste, nommée alors ministre déléguée à l'Education. Selon l'avocat de Ségolène Royal, "les assistantes étaient en préavis et ont travaillé pour le député suppléant de Mme Royal, devenu ensuite un adversaire politique".
Source :
tempsreel.nouvelobs.com/s...
Ségolène sera le 24 février 2007 à Rouen et une réunion public est prévue avec Laurent Fabius à ses côtés.
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