Les conditions de la réunification de la Normandie selon Didier Marie

Didier Marie à PavillyHier, Didier Marie est resté toute la journée dans le canton de Pavilly, de 10 heures du matin sur le marché, jusqu'au soir...
Lors d'un débat avec la population, une dame a posé la question sur la réunification de la Normandie.
A priori, le président du département n'est pas contre le projet, mais il y met trois conditions :

  • Premièrement, que Rouen soit la capitale de la Normandie !
  • Deuxièmement, que l'État finance les infrastructures qui puisse rapprocher les deux régions, tel le TGV...
  • Troisièmement, que cela doit être décidé par les habitants, c'est-à-dire, par un référendum, et non pas décidé d'en-haut !

« Il ne faut pas que le regroupement des deux régions fasse un moins pour la population ! s'est exclamé le président. Le choix de la capitale, que se soit Rouen ou Caen, entraînera pour la ville perdante, une perte de 3000 emplois. Où est l'économie ? »

D'après lui, les indemnités des élus ne représente que 1/1000ème des dépenses. « Il faut une administration de proximité ! a-t-il continué. Les régions les plus grandes ne sont pas les plus puissantes ! »
Plutôt qu'un problème de territoire, il y voit un problème de compétence.